L’examen échographique des structures fibrillaires (tendons) ou lamellaires (ligaments) nécessite une attention toute particulière liée à ce qu’on appelle l’artefact d’anisotropie.
Cet artefact peut être résumé de la façon suivante :
- Si les ultrasons n’arrivent pas de façon strictement perpendiculaire au tendon, l’image correspondante apparaissant à l’écran sera faussement hypoéchogène et le tendon ne sera pas facilement reconnaissable
- Si on modifie la direction du faisceau ultrasonore pour bien l’orienter perpendiculairement au tendon, la zone hypoéchogène cèdera sa place à une image échogène fibrillaire caractéristique du tendon.
Ainsi, pour examiner un tendon :
- Mobiliser l’articulation pour mettre le tendon ou le ligament sous tension (par exemple, fléchir le genou pour tendre le tendon quadricipital)
- procéder à des petites oscillations de votre sonde pour trouver l’orientation idéale du faisceau ultrasonore vis-à-vis du tendon.
On comprend mieux pourquoi l’utilisation d’une sonde convexe ou annulaire ne peut pas convenir à l’examen des structures tendineuses ou ligamentaires.
Cet artefact peut être résumé de la façon suivante :
- Si les ultrasons n’arrivent pas de façon strictement perpendiculaire au tendon, l’image correspondante apparaissant à l’écran sera faussement hypoéchogène et le tendon ne sera pas facilement reconnaissable
- Si on modifie la direction du faisceau ultrasonore pour bien l’orienter perpendiculairement au tendon, la zone hypoéchogène cèdera sa place à une image échogène fibrillaire caractéristique du tendon.
Ainsi, pour examiner un tendon :
- Mobiliser l’articulation pour mettre le tendon ou le ligament sous tension (par exemple, fléchir le genou pour tendre le tendon quadricipital)
- procéder à des petites oscillations de votre sonde pour trouver l’orientation idéale du faisceau ultrasonore vis-à-vis du tendon.
On comprend mieux pourquoi l’utilisation d’une sonde convexe ou annulaire ne peut pas convenir à l’examen des structures tendineuses ou ligamentaires.